
Mères et Filles (2014)
Portraits photographiques de Brondillantes.
Après le travail photographique Femmes courage, il était tout naturel de parler des mères … et de leurs filles.
Pour moi, c’est un lien éternel, que rien ne peut détruire. Si parfois ce lien semble fragile, on se rend compte (encore plus quand on devient mère soit même) qu’il est important et vital. Pour l’une et pour l’autre Il permet de se construire, il ouvre le chemin, la confiance, les repères.
J’aurai aimé intituler cette exposition Ne t’inquiète pas, tout va bien, c’est une phrase qu’une mère peut dire à sa fille et vice versa… A un moment donné, mères et filles sont au même niveau, comme 2 complices, 2 amies.
Tous mes travaux photos tournent autour de deux axes, remettre au centre l’être humain et réinstaurer un langage de douceur et de reconnaissance.
Portraits photographiques de Brondillantes.
Après le travail photographique Femmes courage, il était tout naturel de parler des mères … et de leurs filles.
Pour moi, c’est un lien éternel, que rien ne peut détruire. Si parfois ce lien semble fragile, on se rend compte (encore plus quand on devient mère soit même) qu’il est important et vital. Pour l’une et pour l’autre Il permet de se construire, il ouvre le chemin, la confiance, les repères.
J’aurai aimé intituler cette exposition Ne t’inquiète pas, tout va bien, c’est une phrase qu’une mère peut dire à sa fille et vice versa… A un moment donné, mères et filles sont au même niveau, comme 2 complices, 2 amies.
Tous mes travaux photos tournent autour de deux axes, remettre au centre l’être humain et réinstaurer un langage de douceur et de reconnaissance.

Femmes courage (2008)
Femmes courage est un hommage aux femmes.
C’est le portrait et la parole de douze femmes. La seule chose qui les réunit est le quartier de la Guillotière.
Elles m’ont offert librement un témoignage de leur vie.
Elles racontent leurs joies, leurs peines, leur engagement pour défendre la dignité humaine, leur combat pour être heureuse.
Cette exposition veut affirmer le courage des femmes.
Ces rencontres ont été pour moi un vrai cadeau et de profonds encouragements à la vie.
Merci à chacune d’entre elles, Denise, Annick, Simone, Dalila, Hafida, Maria Luisa, Renée, Rabiâa, Orkia, Euridice, Sabrina, Marie France… et à toutes les femmes…
Femmes courage est un hommage aux femmes.
C’est le portrait et la parole de douze femmes. La seule chose qui les réunit est le quartier de la Guillotière.
Elles m’ont offert librement un témoignage de leur vie.
Elles racontent leurs joies, leurs peines, leur engagement pour défendre la dignité humaine, leur combat pour être heureuse.
Cette exposition veut affirmer le courage des femmes.
Ces rencontres ont été pour moi un vrai cadeau et de profonds encouragements à la vie.
Merci à chacune d’entre elles, Denise, Annick, Simone, Dalila, Hafida, Maria Luisa, Renée, Rabiâa, Orkia, Euridice, Sabrina, Marie France… et à toutes les femmes…

Les Hommes debout (2006)
Après avoir longtemps photographié la danse, je me tourne vers le reportage, la photo à histoire(s). Parler des êtres humains, dans leur environnement, dans leur parcours de vie, mettre en valeur ces petites choses du quotidien qui font la vie.
Après l’exposition « entre deux » en 2004 sur le programme de réhabilitation de ce quartier, « Les Hommes Debout » est une nouvelle lecture de cet espace urbain, lieu atypique de rencontres et d’échanges.
La photographie n’est pas là uniquement pour laisser une trace mais pour porter un regard sur ce quartier « mal connu ».
Monter cette exposition a été pour moi un grand moment de bonheur.
Plus que des images... Elle est l'histoire de rencontres humaines.
Après avoir longtemps photographié la danse, je me tourne vers le reportage, la photo à histoire(s). Parler des êtres humains, dans leur environnement, dans leur parcours de vie, mettre en valeur ces petites choses du quotidien qui font la vie.
Après l’exposition « entre deux » en 2004 sur le programme de réhabilitation de ce quartier, « Les Hommes Debout » est une nouvelle lecture de cet espace urbain, lieu atypique de rencontres et d’échanges.
La photographie n’est pas là uniquement pour laisser une trace mais pour porter un regard sur ce quartier « mal connu ».
Monter cette exposition a été pour moi un grand moment de bonheur.
Plus que des images... Elle est l'histoire de rencontres humaines.

Entre deux (2004)
J’habite « la Guillotière » depuis 2000 et lorsque le Centre social de ce quartier m’a proposé de travailler sur la mémoire du quartier, il m’a paru évident d’accepter.
C’est une partie de la ville que j’aime car riche en populations diverses, en odeurs et sensations et toujours vivante et contrastée.
La photographie n’est pas là uniquement pour laisser une trace mais pour porter un regard sur ce quartier « mal connu »
En partant de l’urbanisme et de son évolution,( le programme de réhabilitation en cours), j’ai voulu travailler sur l’espace habité et « l’humain » qu’il contient.
Monter cette exposition a été pour moi un grand moment de bonheur.
Entre deux, c’est le présent, entre le passé et l’avenir.
Un présent où tout peut se construire mais aussi où tout peut se détruire, cycle de la vie qui nous renvoie constamment à nos choix.
J’habite « la Guillotière » depuis 2000 et lorsque le Centre social de ce quartier m’a proposé de travailler sur la mémoire du quartier, il m’a paru évident d’accepter.
C’est une partie de la ville que j’aime car riche en populations diverses, en odeurs et sensations et toujours vivante et contrastée.
La photographie n’est pas là uniquement pour laisser une trace mais pour porter un regard sur ce quartier « mal connu »
En partant de l’urbanisme et de son évolution,( le programme de réhabilitation en cours), j’ai voulu travailler sur l’espace habité et « l’humain » qu’il contient.
Monter cette exposition a été pour moi un grand moment de bonheur.
Entre deux, c’est le présent, entre le passé et l’avenir.
Un présent où tout peut se construire mais aussi où tout peut se détruire, cycle de la vie qui nous renvoie constamment à nos choix.

Ki Niêm (2000)
Textes de Cathy Bouvard
En viêtnamien, Ki Niêm évoque le souvenir.
Ce sont des portraits d’hommes et de femmes arrivés en France entre 1950 et 1962. En provenance du Viêtnam, ils s’installèrent à Noyant, petit village de l’Allier.
Chaque famille y replongea ses racines sans faire cas de son passé, chacun reconstruisit avec ce qui lui restait.
Cette exposition veut être à l’image de nos rencontres avec eux. Elle veut être un hommage, souvenir de ces hommes et ces femmes qui quittèrent leur pays, portant à jamais leur histoire comme fardeau pesant de la fuite. Elle veut retisser le lien entre le pays d’origine devenu un mythe et ce Viêtnam contemporain que les occidentaux redécouvrent.
Textes de Cathy Bouvard
En viêtnamien, Ki Niêm évoque le souvenir.
Ce sont des portraits d’hommes et de femmes arrivés en France entre 1950 et 1962. En provenance du Viêtnam, ils s’installèrent à Noyant, petit village de l’Allier.
Chaque famille y replongea ses racines sans faire cas de son passé, chacun reconstruisit avec ce qui lui restait.
Cette exposition veut être à l’image de nos rencontres avec eux. Elle veut être un hommage, souvenir de ces hommes et ces femmes qui quittèrent leur pays, portant à jamais leur histoire comme fardeau pesant de la fuite. Elle veut retisser le lien entre le pays d’origine devenu un mythe et ce Viêtnam contemporain que les occidentaux redécouvrent.